Les Peuples veulent une autre Europe fondée sur les réalités qui traite enfin sérieusement les problèmes de l’emploi, de l’immigration, de l’énergie, … – sans doute avec une Europe des Nations comme le voulait Charles de Gaulle – que celle voulue et imposée par les technocrates européens dont les français au nom d’un « despotisme éclairé » dont ils s’estiment seuls détenteurs. Se refuser à cette évidence par orgueil, par suffisance ou par domination, c’est tuer lentement mais avec certitude le projet européen.

Michel MERCIER
Président de l’Union Gaulliste pour la Démocratie