Faut-il recentrer l’enseignement de l’histoire sur la France, au risque d’un repli national ?
Véhiculer une image plus positive, plus fédératrice de notre passé ? Réhabiliter la chronologie à tous les étages ? La préparation des nouveaux programmes est l’occasion d’un vif débat, qui dépasse largement le cercle des spécialistes.