Entretien de Dominique Reynié dans Le Figaro: « Ouvrir les frontières implique de pouvoir fermer les frontières. La tension entre le devoir humanitaire et le devoir de fermeté ne se résoudra pas en alternant l’un et l’autre ; très différemment, c’est dans la fermeté que réside la possibilité de décisions humanitaires. La fermeté est la condition, c’est par elle qu’il faut commencer. C’est l’affirmation et la défense des frontières européennes qui rétablira la confiance et rendra possible sans malentendu les gestes de secours décidés. »